" Un sentiment, si profond soit-il, se nourrit à la vie physique, c'est là qu'il s'abreuve : quand celle-ci se met à lui manquer, il a froid, il grelotte (...). Laissé seul, à lui-même, un sentiment s'égare bien vite." (Hubert Aquin, Journal, 20 déc. 1948.)
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