09 novembre 2008

Encore.

Toujours sur le corps et l'idéal, une autre preuve, d'une perspective bien différente :
" Un sentiment, si profond soit-il, se nourrit à la vie physique, c'est là qu'il s'abreuve : quand celle-ci se met à lui manquer, il a froid, il grelotte (...). Laissé seul, à lui-même, un sentiment s'égare bien vite." (Hubert Aquin, Journal, 20 déc. 1948.)

Aucun commentaire: