Juste au pas de la porte, dehors, le désir. Sur le coin du bureau, entre ce Fernand Ouellette aérien et un Derrida un peu dur, le désir. Devant la glace qui reflète mon visage de douleur, le désir.
Partout "ce désir, toujours", partout cet inachèvement, ce vide, cette béance. Et sur la fracture, bancale, moi, inassouvie.
Derrière le désir, le mal. Profond. Et ses traces aux alentours.
Et la vie.
3 commentaires:
AAAAAA C'est bon !!!!
Et douloureux.
Oui. Je seconde.
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