02 décembre 2008

Si à l'écoute de ces mots-là, la vie mérite de s'arrêter...

... c'est parce qu'ils réussissent à nous faire
"toucher du bout de (notre) âme  
la peau fragile du temps, voir, 
voir enfin s'ouvrir les ombres que l'on porte 
et comme une soeur, et comme un visage, 
le monde repose dans la paume de l'aube."
(Hélène Dorion, Le hublot des heures, Paris, Clepsydre/La Différence, 2008, p. 77.)

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