Parce que je m'étais bien peu trompée à lire tes yeux, quand c'est arrivé je me suis sentie vaincue. Mais même si je ne peux réfréner cet élan qui me pousse vers eux, j'accepte maintenant qu'il ne me mène à rien d'autre qu'à cette douce hypothèse : quand ton regard se voile, c'est qu'à cet instant tu existes mieux, plus, dans un ailleurs qui te ressemble.
Et puis quand bien même je passerais ma vie à répéter les mêmes choses - transparence, humanisme, amour et idéal -, j'aurai au moins couru le risque de parler.
3 commentaires:
Tu es touchante, simonac.
Parce que je me laisse très (trop ?) facilement toucher, peut-être...? Y a des jours ça m'épuise, d'autres, ça m'exalte. Contente que ça passe comme c'est, disons...!
je dépose un commentaire à ce petit clin d'oeil séduisant qui écrit bien plus que simplement :-)
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