Eh bien, dix ans plus tard, je n'ai toujours pas le courage de me tuer, mais il y a des jours comme aujourd'hui où je préférerais mourir une fois pour toutes au lieu d'imaginer vainement que quelqu'un quelque part peut comprendre quelque chose. À commencer par moi.
1 commentaire:
Ça serait vraiment triste, ça. Ah, ce niochon de Cioran.
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