que j'ai connu la poésie et m'en ennuie, qu'il n'y a rien que ton sourire de cette nuit-là ne peut calmer, que je ne parle pas mathématiques, que si j'outrepasse les limites de mon corps souvent c'est qu'elles l'ont trop longtemps empêcher d'exulter, que la liste des petites choses encore à faire ne s'épuise jamais et qu'elle est beaucoup plus terrifiante que celle où une vie avec toi se tient droit parmi les grands rêves qui éclairent ma nuit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire