"toucher du bout de (notre) âme
la peau fragile du temps, voir,
voir enfin s'ouvrir les ombres que l'on porte
et comme une soeur, et comme un visage,
le monde repose dans la paume de l'aube."
(Hélène Dorion, Le hublot des heures, Paris, Clepsydre/La Différence, 2008, p. 77.)
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